Rencontre avec Laurence Amélie, cofondatrice d'Illustre Paris

Rencontre avec Laurence Amélie, artiste peintre et cofondatrice de la Maison Illustre Paris, dont les créations sont directement inspirées de ses magnifiques tableaux. Son travail autour des fleurs, envoute, invite au rêve et à la flânerie. Gourmande, généreuse, Laurence est inspirante et inspirée, elle aime rencontrer, partager et aussi raconter, à travers ses toiles, mais pas que ! Un ensemble de synergies qui composent avec singularité son univers empli de poésie.

Laurence, pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour je m’appelle Laurence Amélie, je suis devenue artiste malgré moi, et suis obsédée par les couleurs de la nature qui nous enveloppe.

Quel est votre parcours et ce qui vous a amené à la peinture ?

Depuis la maternelle, je dessine des fleurs, des horizons et des frondaisons, en passant par des cieux tumultueux. J’était styliste pour la mode enfant et j’ai découvert mes facultés artistiques sur le tard, vers l’âge de 35 ans. De violon d’Ingres, la peinture est alors devenue une passion, presque une obsession, et maintenant j’ai le bonheur de pouvoir peindre dès que j’en ressens l’inspiration.

Au quotidien, qu’est-ce qui nourrie votre inspiration d’artiste ?

La lumière, les lumières, la façon dont les tonalités se jouent du prisme, tout est harmonie, les couleurs, la musique, l’Aube, le crépuscule…Chaque moment de la journée est potentiellement source d’inspiration pour moi.

Comment est né le projet Illustre Paris ?

Avec mon associée et cofondatrice Elodie Delmas, nous avions envie que notre univers s’en happe des toiles et envahisse le quotidien de ceux qui le désirent. Qu’à chaque moment dans la maison, on puisse trouver son petit moment de poésie sur les objets du quotidien. 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre manière de travailler ? D’envisager vos toiles et les créations avec Illustre Paris ?

Personne ne peut dire à  quoi ressemblera une toile. Il faut avoir le courage de laisser son esprit voleter sans contrainte comme le ferait un papillon. Ensuite lorsque la toile est née, si on veut l’utiliser pour Illustre Paris, on choisira un détail (pour un coussin, une étole, une trousse, un cabas) qui sera photographié et traité en ultra haute définition, pour une qualité d’impression qui a chaque fois nous laisse époustouflées, par sa fraîcheur, sa précision et le rendu de ses coloris aquarelles.

 

Laurence Amélie en train de peindre

Laurence Amélie avec une des toiles qui inspirent les objets d'Illustre Paris

Quel est selon vous l’objet déco indispensable ?

Un objet n’est selon moi pas indispensable par sa fonction mais par l’émotion que son impression procure au quotidien.

Enfin, votre pièce préférée Ilustre Paris ?

Les papiers peints panoramiques, j’en ai plusieurs chez moi et à chaque fois que je rentre dans une pièce c’est une perpétuelle invitation au voyage et à la rêverie.

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